Une vingtaine d’experts internationaux, biologistes et physiciens, ont lancé l’« Initiative Océans 2015 » pour alerter les dirigeants mondiaux et les opinions publiques sur l’état des eaux océaniques. Selon eux, elles constituent un enjeu sous-estimé de la conférence de l’ONU sur le climat, qui se tiendra en décembre à Paris.
Retrouvez mon article sur le sujet sur Agoravox : COP21, n’oublions pas les océans !
A moins d’un an des jeux olympiques, les spécialistes s’inquiètent de la pollution dans la baie de Rio. Bactéries et virus pourraient bien contaminer les athlètes disputant les épreuves de planche à voile, triathlon, aviron ou voile. L’agence de presse américaine Associated Press a fait pratiquer des tests et les a soumis à des experts. Les résultats sont très préoccupants.
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Très encadrés, les sites de baignade maritimes et d’eau douce sont contrôlés durant la saison estivale. Au-delà des affichages sur place, les résultats des tests sont consultables sur internet. Des informations essentielles car la qualité des eaux varie en fonction des conditions météo.
Retrouvez l’ensemble de mon billet sur mon espace Agoravox : Qualité des eaux de baignade
Une Commission d’enquête du Sénat vient de rendre public son rapport sur le coût de la pollution de l’air. Il est exorbitant : 101,3 milliards d’euros par an, soit entre 1 100 et 1 600 euros par habitant. Les Sénateurs soulignent la responsabilité des particules fines et avancent une soixantaine de propositions pour remédier à cette « aberration économique ».
La suite de l’article sur mon compte Agoravox à ce lien : La pollution de l’air à 100M d’euros
En raison de sa situation géographique (climat désertique subtropical), Lima subit à la fois un manque d’eau et des inondations. Une ONG péruvienne propose de réutiliser une technique développée par une civilisation précolombienne : une méthode de captation des eaux de montagne dans des canaux en pierre. Cette solution écologique et économique apparaît comme la bonne alternative à la construction d’une station de dessalement de l’eau de mer.
La suite de l’article est directement sur mon espace Agoravox à ce lien : « Au Pérou, l’architecture permet de lutter contre la sécheresse »
Le prix moyen du mètre cube d’eau cache mal les disparités que les Français constatent sur leurs factures d’eau courante. Les écarts varient du simple au triple selon le département considéré, selon que l’on est en agglomération ou en zone rurale… Mais aussi suivant des critères opaques pour le consommateur. Des signes indiquent que les Français doivent s’attendre à des augmentations dans les années qui viennent.
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L’augmentation du gaz carbonique dans l’atmosphère cause le réchauffement climatique, c’est bien connu. Cela a un autre effet : les océans deviennent de plus en plus acides. Crustacés et autres animalcules marins en subissent les conséquences. Une nouvelle étude internationale vient le démontrer.
Le PIB, principal indicateur de la croissance, est souvent critiqué : incomplet, il ne prend pas en compte les dégâts causés à la nature, la santé des habitants, l’endettement… Pour y remédier, le Conseil social, économique et environnemental (CESE) et France Stratégie ont créé un tableau de bord : une liste de critères sociaux, environnementaux et économiques pour donner une vision plus juste de l’état de notre société.
10 nouveaux indicateurs, compréhensibles par tout le monde, vont permettre d’évaluer les politiques publiques. Trois d’entre eux concernent l’environnement, plus précisément : le climat, la biodiversité et la gestion des ressources. C’est une réelle avancée : la santé du pays ne sera plus regardée du seul point de vue de l’accroissement de la production.
La France s’était engagée à réduire de 50% sa consommation de pesticides d’ici 2018. Face à l’augmentation continue de l’usage des pesticides, elle reporte cet objectif à 2025, c’est à dire aux calendes grecques, tout en amplifiant une politique qui l’a menée à l’échec.
En 2009, le plan Ecophyto ambitionnait de réduire de moitié l’usage de pesticides en France. Près de 40 millions d’euros ont été dépensés, pour obtenir le résultat inverse: l’usage des pesticides a bondit de plus de 10% entre 2009 et 2013.
Conséquence logique, on retrouve de plus en plus de pesticides dans notre alimentation. Alors que les agences de l’eau, où siègent de nombreux représentants des agriculteurs, communiquent peu sur la question, l’agence Rhône Méditerranée Corse, a fait acte de transparence, en tirant la sonnette d’alarme fin 2014.
La pire sécheresse que la Californie ait connue depuis 1 200 ans, a t-elle des causes naturelles ou humaines ?
Le débat peut paraître étonnant, quand on veut bien reconnaître que les activités humaines engendrent des conséquences naturelles. Il traverse pourtant toute la presse américaine, au gré des études scientifiques contradictoires, qui paraissent presque chaque semaine.
Eau mon dieu ! 